Agissements du BET Aflou Agro Allili Mostafa
Posté par admin le Mercredi 09-03-2016COMMUNIQUE
Face à une véhémente campagne de dénigrement, des provocations répétitives, et d’attaques infondées sans précédent contre l’institution BNEDER et tout récemment contre son premier responsable, qui durent d’ailleurs depuis plusieurs mois, notamment sur les réseaux sociaux, et rompant, une fois n’est pas coutume, avec le droit de réserve, la Direction Générale dénonce avec vigueur les agissements néfastes d’un individu, le nommé ALLILI Mostafa, gérant du Bureau d’Etudes Aflou Agro, qui a du mal à digérer son exclusion de la liste des BET avec lesquels notre établissement est conventionné.
Une décision qui lui a été signifiée par courrier et dont une copie a été transmise à l’Inspection Générale du MADRP.
Ce BET, dont le venin n’a épargné personne, que ce soit le BNEDER, d’autres BET voire même des institutions de l’Etat, a été exclu par la Direction Générale pour les raisons suivantes :
- Le BNEDER ne passe pas de convention avec un bureau d'études qui passe son temps à le dénigrer et à le diffamer sans la moindre preuve, ni fondement.
- Le BNEDER ne passe pas de convention avec un bureau d'études qui avance de gros mensonges, comme par exemple : ''99% des études de faisabilité technico-économique de mise en valeur des périmètres de concession sont attribués au BNEDER, le reste 1% par voie d'appels d'offres est attribué aux hydrauliciens'' ! A croire que ce BET détiendrait tous les chiffres et données sur les marchés algériens et sur ce que décroche ou non le BNEDER !! Ou bien que les DSA (lesquelles d'abord ?) passent des marchés de gré à gré (comme si que c'était interdit par la loi) avec le BNEDER.
- Le BNEDER ne passe pas de convention avec un bureau d'études qui veut induire en erreur l'opinion en avançant que notre établissement a été attributaire de toutes les études forestières (ce qui est faux) et bien d'autres qui n'y figurent même pas, malgré ''la participation d'autres bureaux d'études privés avec des offres bien classées techniquement et financièrement'' comme si que ce BET était présent à l'ouverture des plis et à l'évaluation des marchés attribués par des commissions réglementaires sur lesquelles il jette l'anathème ainsi que sur les institutions auxquelles elles appartiennent.
- Le BNEDER ne passe pas de convention avec un bureau d'études qui accuse et récuse plusieurs ministères pour avoir attribué des marchés au BNEDER (SRAT, SNAT, RGA, etc.) et qui a l'outrecuidance de remettre même en cause les décisions d'institutions de l'Etat comme par exemple la validation des études, comme si que c'était le BNEDER qui l'ait décidé !
- Le BNEDER ne passe pas de convention avec un bureau d'étude qui évoque, sans mesurer la portée de ce qu'il avance, le mot ''monopole'' que soi-disant détient le BNEDER au détriment des autres opérateurs et qui porte des jugements infondées.
- Le BNEDER ne passe pas de convention avec un bureau d'études qui fait preuve d'ingratitude alors qu'il a déjà contracté par le passé un marché de 571 896,00 DA dans le cadre de la CIM n°2011 et dont la prestation a été honorée dans le décompte n°05 en janvier 2013.
- Le BNEDER ne passe pas de convention avec un bureau d’études qui, invité par le MADRP à formuler des propositions concrètes et constructives dans le cadre de la plateforme de revalorisation de l’engineering, a préféré se braquer sur le BNEDER et faire le procès de notre établissement.
- Le BNEDER ne passe surtout pas de convention avec un bureau d'études qui a déjà fait preuve de tricherie avec des preuves matérielles et qui, au besoin, peuvent être remises à qui de droit.
Il est utile de rappeler que les agissements de ce personnage avide de notoriété, ne date pas d’aujourd’hui puisque dès la mise en place du dispositif de la CIM n°108 du 23/02/2011, il a voulu imposé son ‘’point de vue’’ en rejetant la consultation par voie électronique, en distillant des critiques virulentes sur les réseaux sociaux.
Or, cette possibilité moderne, assurant une efficacité et une fluidité éprouvées à toute consultation, notamment à l’échelle du programme de la Circulaire Interministérielle MADR – MICL n°108 du 23 février 2011 portant création de nouvelles exploitations agricoles et d’élevage qui a nécessité la prise en charge d’un volumineux portefeuille d’études, est consacrée par le décret présidentiel n°10-236 du 7 octobre 2010 relatif à la réglementation des marchés publics dans son titre VI (de la communication et de l’échange par voie électronique), sa section 2 (de l’échange des informations par voie électronique) et de son article 174.
Aussi, la méthode de consultation par voie électronique, qui a eu l’aval du Ministère de l’Agriculture, du Développement Rural et de la Pêche ainsi que l’autorité compétente chargée des marchés publics au niveau du Ministère des Finances, a été une première pour le secteur et ne pouvait donc pas être remise en cause juste pour satisfaire les desiderata de certains qui ne veulent pas faire l’effort de se mettre à niveau.
D’ailleurs, l’attitude négative de ce BET, qui ne visait en fait qu’à compromettre le bon fonctionnement de ce programme pour des considérations non avouées, a été portée à la connaissance du premier responsable de la tutelle qui a instruit le BNEDER à l’effet de poursuivre sa démarche.
Et dire que ce BET a été défendu par le BNEDER (voir une actualité publiée sur le site en juillet 2012) lorsqu’il a fait l’objet de dénonciation et a vu ses projets rejetés par l’agence BADR d’Aïn Madhi, dans la wilaya de Laghouat et par d’autres bureaux d’études qu’on ne voudrait pas citer dans ce communiqué.
Le BNEDER, depuis 2011 et malgré toutes les difficultés rencontrées (application stricte du code des marchés publics et lenteurs engendrées, l’impossibilité de recourir à l’attribution des marchés de gré à gré pour les BET et CA, les procédures de paiement des études, la qualité de certaines études, les retards de paiements dus à des considérations autres que contractuelles,….), a eu des relations cordiales, respectueuses et très enrichissantes avec les bureaux d’études et conseillers agricoles avec lesquels il a étroitement collaboré.
Par ailleurs, et dans une interview donnée à Filaha Agro News, ce BET rajoute d’autres couches à son chapelet de mensonges en affirmant :
- Qu’il a contribué, lui et d’autres bureaux d’études, à l’élaboration d’une plateforme pour la revalorisation de l’engineering au service de la modernisation du secteur de l’agriculture, du développement rural et de la pêche. Ce qui est archi faux ! La seule contribution de ce BET est de faire le procès du BNEDER et de transmettre une copie à Monsieur le Ministre. Or, le document final relatif à une note portant sur la revalorisation de l’engineering a été le fruit du travail du groupe de travail mis en place par le BNEDER et le concours des BET & CA ayant participé à l’atelier du 13 janvier 2016 organisé au BNEDER et ceux ayant transmis leurs contributions par écrit. Ce BET n’a produit aucune ligne, ni le moindre mot dans cette note ! La rédaction finale de la note a été faite par le BNEDER, la Directrice de la Formation, de la Recherche et de la Vulgarisation (DFRV/MADRP) et deux Conseillers de Monsieur le Ministre !!
- Ce BET avance que le BNEDER a travaillé seul, ce qui est un autre gros mensonge car ledit travail a été fait avec un groupe d’une quarantaine de personnes et la contribution d’une douzaine d’autres qui ont élaboré la première mouture de la note qui a été transmise à Monsieur le Ministre. Et c’est cette même note qui a été distribuée, sur demande de Monsieur le Ministre, le mardi 23 février 2016 par le BNEDER aux BET & CA présents pour une dernière lecture et amendement. Le BNEDER n’avait pas à publier un travail destiné à sa tutelle, ni rendre compte à ce BET qui n’a contribué ni de près ni de loin à un quelconque projet constructif.
- Usant toujours de mensonges grossiers, ALLILI Mostafa, a déclaré que le BNEDER a limité la présence des bureaux d’études, lors du regroupement du 29 décembre 2015 au siège du Ministre de tutelle, aux seuls qui lui sont affiliés, alors qu’il s’agissait d’une instruction de Monsieur le Ministre.
- Ignorant les lois de son propre pays, ce BET oublie que le BNEDER est un établissement public étatique comme le stipule son décret de création, et qu’il a donc le droit d’accéder aux marchés de gré à gré, et que dans ce même décret (annexe : Cahier des charges de sujétions de service public) il ouvre même droit à des dotations financières (subventions) au titre des sujétions de service public (article 4 de ladite annexe).
- Alors, qui voulez-vous trompez, Mostafa Allili, si ce n’est les ignorants et les haineux comme vous !
Le BNEDER, qui a de tout temps respecté ses partenaires, n’a jamais porté le moindre jugement de valeur sur les travaux des uns et des autres et encore moins sur les personnes, ce qui n’est pas le cas de ce triste personnage qui prétend que ses prestations sont ‘’meilleures’’ et ‘’très appréciées’’ que ceux du BNEDER, en citant des DSA, des Conservations des Forêts et autres institutions sans apporter la moindre preuve matérielle.
Dans son délire, ce BET parle de plagiat, d’exclusion, de monopole et d’études qui remontent même aux années 80 ! (inventaire forestier et non floristique) et d’autres maux, alors que le BNEDER n’a eu à travailler avec les BET & CA que durant les quatre dernières années dans le cadre de la CIM n°108.
Si ce BET est aussi compétent et apprécié comme il l’avance, pourquoi cherche-t-il à tout prix à renouveler sa convention avec le BNEDER en venant raser les murs du siège de cet établissement qu’il dénigre à souhait et en toute circonstance ?
Si ce BET est aussi convaincu de ce qu’il avance et aussi téméraire comme il l’est sur les réseaux sociaux, pourquoi n’a-t-il pas intervenu lors de la réunion avec Monsieur le Ministre le 29 décembre 2015, pour dénoncer le BNEDER ?
Quel Homme ce … Allili Mostafa !
Ceci étant rappelé, la Direction Générale du BNEDER se réserve enfin tous les droits pour défendre l'honorabilité et la respectabilité d’une institution de l’Etat algérien, créée par décret présidentiel, placée sous tutelle d’un Ministère de souveraineté et dont le Président du Conseil d’Administration n’est autre que le Ministre représenté à travers la personne de son Secrétaire Général, et ce auprès des juridictions compétentes contre les attaques répétées et les diffamations que ne cesse de proférer ce BET.

